Que sont devenus les petits de Dawa, la panthère des neiges de Nés en Chine ?

Attention, cet article contient des spoilers !

Le 27 septembre 2017, nous découvrions l’un des plus beaux films du label Disneynature, Nés en Chine. Dans cette immense fresque onirique, l’histoire de Dawa, la panthère des neiges et ses bébés, était la plus touchante de toutes. Au destin tragique, c’était aussi la plus dure, avec une fin qui laissait le spectateur sur une inquiétude très profonde : que sont devenus les petits de Dawa ?

Le destin des bébés de Dawa enfin révélé !

Depuis 1953 avec la création de la série animalière True-Life Adventures, et plus récemment avec Disneynature, Disney a toujours tenté d’éduquer et d’informer les familles sur la protection de la nature et des animaux. A travers le Disney Conservation Fund, la firme de Mickey a initié de nombreuses actions à travers la planète.

Dans Nés en Chine, le spectateur découvre l’histoire de pandas, de singes dorés et surtout, celle de Dawa, la panthère des neiges et ses petits. Le film s’achève sur une note spécifique et distincte pour chaque espèce.

De tous les récits contés, c’est celui de Dawa qui marque le plus les esprits. Pour ceux qui l’ont vu, son destin tragique laisse des marques profondes et l’image de son corps inanimé dans la neige les hante. Lu Chuan, le réalisateur, montre la beauté tragique de la vie et de la nature d’une manière subtile mais aussi terrible. Une question revient alors sans cesse à l’esprit : sans leur mère, que sont devenus les bébés de Dawa ? Le film ne répond pas à la question, mais laisse peu de place à l’espoir…

Et pourtant ! A l’occasion de la sortie du film en Blu-Ray, le producteur Roy Conli s’est confessé sur leur destin :

« (…) Nous ne savions pas immédiatement ce qui leur était arrivé. Nous étions plutôt inquiets. (…) Lu Chuan était resté en contact avec les rangers. Et environ six mois après que nous sommes partis, ils ont été repérés. Et ils ont survécu et se nourrissaient ! C’est, je pense, un dénouement très positif pour eux ! »