S’occuper au frais avec Disney !
Nous sommes déjà en juillet 2019 et il est temps de faire le tour d’horizon de l’actualité de la planète Disney.
L’Araignée et le Lion (et ce n’est pas une Fable de La Fontaine), une occupation entre amis ou en famille et quelques livres, de quoi s’occuper au frais sans oublier de s’hydrater.
On est parti !
A l’horizon
Les stars du mois
La (première) star du mois
Comment parler de Spider-Man : Far From Home sans rien révéler d’important de l’intrigue ? D’abord peut-être en restant très factuel. Sorti le 3 juillet 2019, c’est le second film du Marvel Cinématic Universe consacré aux aventures en solo de Peter Parker, alias Spider-Man. Réalisé par Jon Watts, comme le premier opus, il reprend fort heureusement tous le casting du premier film, de Tom Holland dans le rôle principal à Marisa Tomei (tante May), en passant par Zendaya (MJ) et Jacob Batalon (Ned). Attention, « spoil » de Avengers Endgame en approche.
Le film fait suite aux événements de Avengers : Endgame, et Peter Parker doit se remettre de ses émotions et surtout de la perte de Tony Stark, son mentor. Ce dernier lui passe le flambeau, par l’entremise de Happy Hogan (Jon Favreau), mais avant d’avoir pu mettre de l’ordre dans ses idées, son petit monde déjà bien chamboulé est envahi par Nick Fury (Samuel L. Jackson) qui vient lui demander de l’aide contre une nouvelle menace.

Outre le danger affronté par Spidey, c’est Mysterio, incarné par Jake Gyllenhaal, que nous retrouverons donc à l’affiche, aux côté du Tisseur, et autant dire que ce nouveau venu est clairement le point focal du film. Scénaristiquement et visuellement, puisque sa présence est synonyme d’étalage de pouvoirs et d’effets visuels, tout au long de l’histoire, pour notre plus grand plaisir ! Qu’on apprécie ou pas celle-ci, force est de constater que les créations visuelles n’ont plus de limite, et que le réalisateur Jon Watts semble même chercher la difficulté pour son département des effets spéciaux, qui s’en sort avec brio. A titre personnel, le détail allant dans ce sens qui m’a le plus marqué est l’instant où le costume de Spidey prends feu, et que le héros continue de se battre et de voltiger sans éteindre les flammes, le tout restant impeccable visuellement.
Côté scénario, je dirais simplement que le films commençait un peu mal à mes yeux en termes d’adaptation, mais que la deuxième partie rattrape largement tout cela. Je ne peux pas être plus spécifique sans trop en dire, donc je me contenterai de vous conseiller d’une part d’aller voir le film si vous avez apprécié le précédent, et d’autre part d’aller lire notre critique pour en savoir un peu plus.
La (seconde) star du mois
Sur l’autre affiche du mois, c’est le roi à poils le plus célèbre de… OK, je recommence. Que vous ayez aimé Jon Favreau devant la caméra dans Spider-Man ou non, vous allez probablement l’aimer derrière la caméra avec cette réactualisation du (Le) Roi Lion. Derrière la caméra, c’est une façon de parler puisque c’est bien entendu d’une adaptation entièrement en images numériques dont nous allons parler ici. Mais le réalisateur avait déjà fait un premier pas dans cette direction, si l’on peut dire, avec Le Livre de la Jungle, en 2016.
Arrivé sur nos écrans de cinéma le 17 juillet, Le Roi Lion reprends très fidèlement le classique d’animation Disney éponyme de 1994 réalisé par Roger Allers et Rob Minkoff. Bien entendu, quand son illustre prédécesseur était fait de dessins animés, avec tous les choix visuels que cela implique, cette version se veut photo-réaliste. Et elle y arrive ! Prouesse technique s’il en est, tout est criant de vérité, des protagonistes aux décors.

« Mais, et les chansons ? », me direz-vous, l’esprit chargé de souvenirs et de ces paroles légendaires. Et bien pas de panique, vous les retrouverez ! Réinterprétées, bien entendu, mais fidèles aux titres originaux. Attendez peut-être la sortie DVD pour chanter en même temps que nos héros, parce qu’au cinéma, ça ne se fait pas trop, mais vous ne serez pas perdus de ce côté-là !
Le casting est quand à lui tout nouveau, tout beau, à une exception près : l’immense Jean Reno y reprend son rôle de Mufasa (ce qui n’est pas nouveau, mais fort beau quand même). A ses côtés, vous pourrez entendre Rayane Bensetti (Simba adulte), Anne Sila (Nala adulte), Alban Ivanov (Pumbaa) ou encore Jamel Debbouze (Timon).
Pour vous faire une idée plus précise, je ne peux que vous proposer deux choses : jetez un œil sur la chaîne Youtube officielle Disney FR, notamment aux clips de quelques secondes consacrés aux chansons (« Pas de soucis », « L’histoire de la vie » ou encore « Je voudrais déjà être roi ») et ,comme toujours, allez voir notre critique consacrée au film.
Pin Trading
Ce mois de juillet est très chargé en pins en Edition Limitée, avec principalement une série de huit pins sortis le 13 juillet consacrée aux personnages participant au spectacle Le Rythme de la Jungle. Ce sont donc Mickey, Minnie, Donald, Daisy, Dingo, Baloo, Tic et Tac dans leurs costumes d’explorateurs que l’on retrouve sur ces pins, accompagnés de décors liés eux aussi au spectacle se jouant sur Central Plaza à Disneyland Paris, à l’occasion du Festival du Roi Lion et de la Jungle.
Fait assez rare pour être relevé, on peut constater que des produits dérivés du pins trading sont annoncés ce mois-ci. Un t-shirt, un mug, une lanière et (heureusement) un pins portant l’écusson du Pin Trading sont proposés à la vente depuis le 20 juillet.
Deux autres séries avec lanière sont apparues, l’une tournant autour d’Alice au Pays des Merveilles, avec deux pins représentant l’héroïne, un sur le Lapin Blanc et le dernier avec le Chat de Cheshire ; l’autre est consacrée à Winnie l’Ourson, dont trois pins le dépeignent, seul, avec Bourriquet ou encore avec Porcinet.
Une dernière série, ou plutôt une première, puisque parue le 6 juillet, continue celle commencée en mars avec des Minis, des animaux tout mignons avec de graaaaaands yeux. Viennent donc s’ajouter à la série Rajah, Nala, Bambi, et Pégase.
Disney Princesses Charms
Malgré l’intensité calorifique actuelle, ce n’est pas le Pays du Soleil Levant qui est à l’honneur ce mois-ci, mais l’Empire du Milieu, avec celle qui sauva l’Empereur : Mulan. Le soleil est bien présent sur le Charm rond, où la belle est représentée, une fleur à la main, probablement un magnolia, sur un fond rosé qui rappelle un éventail. Si le soleil est rose, les deux perles sont quant à elles d’un bleu très pâle, très discret.

Disney Wisdom Collection
Le film Pinocchio est le représentant du mois en matière de sagesse Disney, avec Jiminy Cricket et une citation de la Fée Bleue : « Always let your conscience be your guide » (« Laisse toujours ta conscience être ton guide »).
Si la Fée est bleue, les objets de la collection Wisdom de ce mois de juillet sont plutôt vert/jaune. La peluche, tout comme l’un des pins et le t-shirt sont illustrés par le cricket. Si le second pins est comme à l’habitude porteur de la citation, c’est Figaro que l’on retrouve sur le troisième.
La tasse accueille elle aussi les deux personnages, de même que les pages intérieures du journal. Autre précision que je n’avais pas faite jusqu’ici, les t-shirts de la collection Wisdom portent sur l’épaule un écusson « brodé » avec le nom de la collection, mais aussi le numéro de l’article dans la série. Ici, ce sera donc « 7 of 12 » (« 7 sur 12 »).

Villainous
Il fait trop chaud et vous avez quelques amis sous la main ? Restez au frais et sortez un bon jeu de société ! Mais vous avez déjà maîtrisé Pictopia, vous vous êtes déjà cassé la voix sur Disney Song Challenge et vous êtes d’humeur sournoise… Bonne nouvelle, Villainous vient d’arriver !
Distribué dans nos contrées par Ravensburger, ce jeu créé l’an dernier par le groupe américain Prospero Hall permet à 2 à 6 joueurs d’incarner avec joie et malice des « Méchants » issus de l’univers Disney. Le jeu étant asymétrique, chacun dispose de son propre plateau, de ses deux piles de cartes spécifiques et bien entendu de ses desseins propres.

Vous aurez donc le choix entre Maléfique qui cherche à maudire l’intégralité du royaume, le Prince Jean et sa soif d’or, Jafar dans sa quête de la lampe merveilleuse, le Capitaine Crochet et son irrépressible envie de vaincre Peter Pan sur son bateau, Ursula devant récupérer le Trident et la Couronne du Roi Triton et enfin la Reine de Coeur qui cherche à réaliser un Coup Royal au crocket. Chacun ses ambitions, on ne juge pas.
Annoncé pour des joueurs à partir de 10 ans, il pourrait néanmoins déjà être abordable pour des joueurs un peu plus jeunes, les règles étant vraiment très simples à comprendre. Il leur faudra cependant de la patience, chacun réalisant à son tour toutes ses actions, pendant lesquels les autres sont quasiment uniquement spectateurs. Non pas que ce soit inhabituel, mais plus le nombre de joueur est important, plus l’attente est longue, et la patience n’est pas toujours le fort des plus jeunes.
Les règles sont donc très abordables, et les aides de jeu sont là pour simplifier encore la tâche des joueurs. Chacun dispose en effet d’une petite carte rappelant les objectifs de chacun, mais aussi la signification des pictogrammes disposés sur son plateau. Comme évoqué plus haut, chaque Vilain dispose de son propre terrain de jeu, lié au monde dont il est issu. Il déplacera donc le marqueur qui le symbolise entre les 4 lieux illustrés, chacun permettant des actions différentes telles que cumuler des ressources, piocher des cartes, utiliser des capacités spéciales ou encore faire des crasses à ses adversaires.
En effet, si chacun va déployer des cartes (alliés ou objets) dans son propre monde en s’acquittant du nombre requis de jetons Pouvoir afin de profiter de leurs capacités pour progresser vers son objectif personnel, il va pouvoir employer ses actions « Fatalité » pour piocher dans la pile correspondante d’un adversaire de son choix pour faire intervenir un événement ou un héros afin de contrarier ses plans. La présence de héros sur les lieux réduisant le nombre d’actions disponibles via celui-ci, il faudra éliminer les gêneurs pour profiter à nouveau de ces ressources.
La mécanique est simple et efficace : déplacer son marqueur vers un lieu, accomplir les actions permises par ce lieu, et piocher des cartes pour reconstituer sa main. Basique, mais les terrains individualisés ainsi que les cartes présentes ou disponibles font apparaître à la fois la diversité des possibilités mais aussi la variété des stratégies offertes par le jeu.
Si les critiques des joueurs semblent mitigées sur l’intérêt du produit, avec souvent des bémols quant à la rejouabilité du titre, je dois dire pour ma part (et celle des autres joueurs de notre partie-test) que la satisfaction est là. Le jeu est simple mais pas simpliste, il tourne bien et peut être relativement fluide. Sans plus de recul, je me demande si certaines parties ne peuvent pas être excessivement courtes, dans le cas où l’un des joueurs tombe directement sur la carte dont il a besoin pour finir. Mais j’ai confiance en l’équilibrage du jeu pour y palier, dans la mesure ou « notre Jafar » à reçu très rapidement la première carte nécessaire, mais n’a pas remporté pour autant la partie.
Même si l’on ne tiens pas compte de la jouabilité, rien que le matériel est superbe. Les marqueurs, bien qu’en plastique, symbolisent chacun leur propriétaire sans le représenter physiquement. Les cartes sont très joliment illustrées, avec des dessins inspirés de leurs films sans en être issus directement. Le matériel est globalement très qualitatif, à l’image de la boite, déjà magnifique. La seule exception cependant est le « chaudron », qui recueille les jetons de Pouvoir, et bien qu’un peu travaillé pour ressembler vaguement à un creuset de pierre, il reste un petit bac en plastique très (trop?) fin et un peu … vilain. Ce n’est pas bien grave dans la mesure où il ne sert qu’à piocher et défausser des jetons, mais on aurait peut-être préféré un vrai chaudron, aussi qualitatif que le reste, au moins esthétiquement. A voir à la longue si l’intérêt demeure et si le matériel tiens le choc.
Une dernière information : Prospero Hall et Ravensburger ont récidivé cette année avec une extension (qui pourra cependant aussi se jouer indépendamment) à Villainous, sous-titrée « Wicked to the Core », que je traduirais très librement par « Pourri jusqu’à la moelle » (alors que Google propose « Méchant à la base »). Actuellement disponible uniquement en anglais, j’espère que ce produit arrivera rapidement en version française, car elle contient trois nouveaux Méchants et non des moindres, à savoir la Méchante Reine (de Blanche-Neige), Hadès (Hercules) et le Docteur Facilier (La Princesse et la Grenouille) !
Pour vous procurer le jeu, vous pouvez le faire chez Amazon ou notre partenaire Fantastik.fr.
Sortie vidéo de Captain Marvel
Je ne vais pas revenir outre mesure sur le film en lui-même, dont la critique est disponible sur le site et dont j’ai parlé lors de sa sortie cinéma, parce que la sortie en DVD et Blu-Ray est bien assez fournie ! Je rappellerai simplement que le film de Anna Boden et Ryan Fleck mettant en scène Brie Larson dans le costume de Captain Marvel est sorti le 6 mars 2019 au cinéma. La version « pour la maison » de cet opus cosmique du MCU est donc enfin arrivée sur Terre le 12 juillet dernier.
Et ce ne sont pas moins que sept versions différentes qui nous sont proposées. La version DVD est comme souvent la moins fournie, et c’est le moins que l’on puisse dire puisqu’elle ne comprend… aucun bonus, uniquement le film. Il faudra donc se reporter au moins sur la version Blu-Ray pour retrouver 6 scènes coupées, le commentaire audio des réalisateurs, et 6 autres reportages autour du film.

La version 3D du film est similaires puisqu’elle contient le même Blu-Ray, en plus de la version 3D sur un disque séparé. Il en va de même pour la quatrième version qui accompagne ce Blu-Ray de la version 4K Ultra HD du film.
La version suivante, annoncée à la même date mais visiblement repoussée au 26 juillet, est clairement la version adressée aux collectionneurs, puisqu’il s’agit d’un pack plus volumineux, ajoutant à la version 4K (et son Blu-Ray de base bien sûr) un buste de Captain Marvel plutôt bien réalisé à en croire les visuels. Il semblerait que cette édition collector soit une exclusivité Amazon et si l’on en crois le site editioncollector.fr, la statuette est un buste en résine, avec une tête interchangeable (cheveux longs ou cheveux courts), réalisée par Semic, et sera proposée individuellement par la suite.
Les deux dernières éditions nous sont proposées par la Fnac, et sont des variantes des version 3D et 4K, dotées d’un coffret métallique (Steelbook). Aucun bonus supplémentaire n’est associé à ces versions. La Fnac nous propose généralement de petits fascicules d’illustrations avec ses éditions spéciales, mais ce n’est pas le cas ici, où seul le coffret métallique est inédit.
A la poupe
Thrawn – Alliances
En février 2018, les éditions Pocket publiaient la version française de « Thrawn », par Timothy Zahn, qui retrouvait à cette occasion le personnage emblématique qu’il avait créé, et qu’il réintègrait ainsi à l’univers dit « Canon » en narrant son apparition, mais aussi son intégration à l’Empire et son ascension au sein du Nouvel Ordre. C’est le 27 juin dernier que le même éditeur nous a proposé la suite, sous la forme du 168ème volume de la collection Star Wars, intitulé « Thrawn : Alliances ».
L’Empereur Palpatine, aussi connu sous le nom de Seigneur Sith Dark Sidious, a senti une perturbation dans la Force, en provenance de Batuu, un monde lointain des Régions Inconnues. Inquiet, il envoie ses meilleurs éléments pour faire la lumière sur l’éventuelle menace : le puissant Dark Vador et le génial Grand Amiral Thrawn. Ces deux personnalités radicalement opposées vont donc devoir cohabiter, coexister, pour mener à bien leur mission.

A cette occasion, et tout en racontant l’enquête qui réunit les deux protagonistes, l’auteur revient aussi sur les circonstances de leur première rencontre, à la fin de la Guerre des Clones, alors que Vador était encore le général Jedi Anakin Skywalker. Le Jedi s’était alors déjà rendu sur Batuu à la rechercher de Padmé Amidala, où il rencontre celui qui est alors commandant d’une force de l’Ascendance Chiss. Ce dernier accepte de l’aider à retrouver sa femme, en échange d’informations sur la Guerre des Clones. Thrawn accumule en effet toujours un maximum d’informations afin de faire les déductions stratégiques nécessaires à l’accomplissement de sa mission, et cette guerre peut potentiellement devenir une menace pour son peuple.
Pour les impatients qui maîtrisent la langue de Shakespeare, le 23 juillet 2019 est paru aux Etats-Unis le troisième volume de cette série : « Thrawn : Treason » (Trahison). Si le rythme est respecté, il nous faudra attendre un peu moins d’un an pour découvrir cette histoire en version française, où Thrawn sera partagé entre son allégeance à l’Empire et son attachement à l’Ascendance Chiss, son peuple d’origine.
Il était une fois…
Nobi Nobi – Quatre Disney en mangas
L’éditeur Nobi Nobi étoffe sa collection de titres liés à l’univers Disney et on peut donc retrouver depuis le 22 mai dernier en format manga quatre titres de films des studios Pixar : Toy Story et Toy Story 2 (par Tetsuhiro Koshita), Le Monde de Nemo (par Ryuichi Hoshino) et Wall-E (par Shiro Shirai). Les trois auteurs-dessinateurs de ces adaptations sont bien restés dans ce cadre-là. Ils sont restés le plus fidèle possible à l’histoire originale, en la retranscrivant « simplement » en bandes dessinées, chacun dans son style respectif.
D’un point de vue personnel, je dirais que si Wall-E passe bien, les autres souffrent un peu plus de leur conversion en manga. Les personnages de Toy Story sont assez étranges, mais on s’y fait assez vite et au final ils sont plutôt « mignons », sauf Buzz qui garde un aspect assez comique à mes yeux. J’ai beaucoup plus de mal avec Nemo. C’est probablement dû à l’absence de couleur, mais le côté stylisé de Nemo ne prends pas avec moi. Je n’accroche pas à cette représentation des personnages principaux (et parfois de leur environnement), même si je précise que certaines illustrations, notamment du port de Sydney, sont vraiment jolies.
Pour les amateurs du genre, n’hésitez pas à voir ce que propose l’éditeur. En matière d’adaptation, vous pourrez retrouver Raiponce, L’Etrange Noël de Monsieur Jack et Descendants, ainsi que l’intégrale de Kingdom Hearts, précédemment édité par Pika Editions et adapté non pas de films, mais des jeux vidéos. En matière de créations originales mais toujours dans l’univers Disney, l’éditeur propose Princesse Kilala (dessiné par Nao Kodaka et scénarisé par Rika Tanaka ; 3 tomes sur 5 publiés pour l’instant), Magical Dance (par Nao Kodaka), un volume consacré aux Tsum-Tsum (par Shirota), et deux tomes inspirés de La Belle et la Bête : Le Destin de Belle et Le Destin de la Bête (réalisés par le Studio Dice).



